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“Soyez, chacun de vous, une parcelle, une étincelle d’amour. Rendez-le contagieux. Organisez l’épidémie du bien.”
Raoul Follereau
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Vous êtes assujetti à l’IFI ? Soutenez les actions de la Fondation Raoul Follereau et bénéficiez d’une réduction fiscale sur l’impôt sur la fortune immobilière.
Pour tout renseignement fiscal ou sur l’un de nos projets,
n’hésitez pas à prendre contact avec notre Responsable Philanthropie :
Jean-Christophe Bernard au 06 34 31 31 67 / 01 70 38 92 83
ou par mail à l’adresse jcbernard@raoul-follereau.org
Découvrez nos projets prioritaires 2023
PRIORITÉ SANTÉ
SENSIBILISER LES COMMUNAUTÉS LOCALES AUX MALADIES TROPICALES NÉGLIGÉES (MTN) EN CÔTE D’IVOIRE

Le projet WASH, mis en place en collaboration avec la Fondation Anesvad, vise à combattre à la source les maladies tropicales négligées, en rétablissant l’accès à l’eau potable et à l’assainissement dans les zones endémiques de la lèpre et de l’ulcère de Buruli.
L’objectif est de sensibiliser au lien entre une meilleure hygiène et la baisse des maladies telles que la lèpre et l’ulcère de Buruli, et mettre en place les réponses nécessaires.
En savoir plus sur le projet WASH.
PRIORITÉ ÉDUCATION
PRÉSERVER LES ÉCOLES AU LIBAN

Depuis 2018, le Liban s’enfonce dans une grave crise économique. Beaucoup de familles ne parviennent plus à payer les frais de scolarité de leurs enfants. La Fondation Raoul Follereau soutient les écoles libanaises depuis 2006, et à plus grande échelle depuis 2019, les écoles les plus vulnérables. Elles sont souvent situées dans les zones rurales, où la pauvreté est plus prononcée.
L’objectif est de permettre l’accès à l’éducation des enfants issus des familles les plus vulnérables.
En savoir plus sur la préservation des écoles libanaises.
La fiscalité au service de votre don
IMPÔT SUR LA FORTUNE IMMOBILIÈRE
Vous êtes redevable de l’IFI 2023 si vous êtes résident fiscal en France et si la valeur nette de votre patrimoine immobilier (ensemble des biens et droits immobiliers) non professionnel est supérieur à 1,3 millions d’euros au 1er janvier 2023.
75% du montant de vos dons en faveur de la Fondation Raoul Follereau, sont déductibles de votre impôt sur la fortune immobilière, dans la limite de 50 000 €.
Pour l’IFI 2023, les dons pris en compte sont ceux effectués entre la date de la déclaration IFI 2022 et la date limite* de déclaration de l’IFI 2023.
*à ce jour, les dates exactes de déclarations ne sont pas connues.


IMPÔT SUR LE REVENU
Lorsque vous soutenez les projets de la Fondation Raoul Follereau, vous pouvez déduire 75% du montant de votre don de votre impôt sur le revenu, dans la limite 1000 €* de don, 66% au-delà dans la limite de 20% de vos revenus imposables.
Après déduction fiscale, votre don vous coûte réellement :
Pour les premiers 1000 €* de don –> 250 €
Puis par tranche de 100 € de don supplémentaire –> 34 €
*(loi de finances 2022)

Il est impossible de cumuler les avantages fiscaux de l’IFI et de l’IR.
Vous pouvez cependant répartir votre don entre les deux.
PRIORITÉ SANTÉ
SENSIBILISER LES COMMUNAUTÉS LOCALES AUX MALADIES TROPICALES NÉGLIGÉES (MTN)
Les maladies tropicales négligées comme la lèpre et l’ulcère de Buruli sont intimement liées à des conditions de vie précaires. Elles frappent ainsi essentiellement les populations les plus démunies.
Forte de son expertise dans la lutte contre les MTN, la Fondation Raoul Follereau a déployé, en partenariat avec la Fondation espagnole Anesvad, la stratégie WASH dans des zones du Bénin et de Côte d’Ivoire.
WASH DANS LE DISTRICT DE GAGNOA
La région de Goh, située au centre de la Côte d’Ivoire, connaît depuis 2014 une forte incidence de MTN comme la lèpre et l’ulcère de Buruli.
220 960 habitants sont concernés (dont plus de 97 000 enfants).
Pour lutter toujours plus efficacement contre ces maladies qui provoquent de graves lésions chez les malades, le projet WASH a été déployé dès 2020 autour de Gagnoa, un district particulièrement touché.
BESOIN DE FINANCEMENT POUR 2023 : 116 000€


Crédit photo : IDC Media
Atteinte de la lèpre, Soavina est désormais guérie après 3 ans de soins, entrecoupés de rechutes.
Quelle histoire se cache derrière Soavina et sa mère Dimby, à l’affiche de la Journée Mondiale des malades de la Lèpre ?
Tout commence en 2018. Soavina (prononcez “ Soav ”) arrive au centre de la lèpre et de la tuberculose de Marana (ne pas prononcer le “ a ” à la fin) de Madagascar avec sa maman Dimby, ses deux frères ainsi que sa tante Fara (la sœur jumelle de sa maman) et son cousin. Elle n’a que 5 ans, mais a déjà développé une forme très grave de lèpre avec un érythème noueux, sorte de bouton sur le visage. Sa vie est en danger, mais l’espoir d’une vie meilleure se dessine enfin.
Depuis sa naissance, Soavina, de par sa maladie, ne connaît que l’exclusion et l’insécurité. Sa maman, Dimby, ainsi que sa tante Fara, sont en effet déjà malades de la lèpre quand elles sont enceintes. Rejetées par leurs compagnons respectifs et leur village, elles se retrouvent seules et malades avec leurs enfants, survivant difficilement de quelques dons. A plusieurs reprises, elles cherchent même de l’aide auprès de différents dispensaires, qui, faute de moyens, ne sont pas en capacité de les accueillir. Leur calvaire va durer des années jusqu’à ce beau jour de 2018.
En visite dans la région, un homme politique local s’émeut de la situation de la famille et se met alors en quête d’un lieu qui pourra les aider et les soigner. Il le trouvera 70 km plus loin : au centre de Marana, que gère chaque jour, avec volonté et bienveillance, Sœur Sabine, épaulée par 6 autres sœurs.
Sœur Sabine rapporte qu’à leur arrivée, les 2 mamans avaient tellement pleuré que l’une ne parlait plus et l’autre avait une voix rauque. Pour elles deux et Riz, le grand frère de Soavina, il est déjà trop tard : leurs mains et leurs pieds sont trop
atteints. Ils resteront handicapés à vie. Pour Soavina, 3 ans de soins seront nécessaires à sa guérison.
Aujourd’hui, Soavina est totalement guérie et s’apprête enfin à vivre la vie d’une petite fille de son âge. Au cœur même du centre, avec ses frères et ses cousins, elle a enfin accès à l’éducation (avant leur arrivée, aucun d’entre eux n’était
jamais allé à l’école). Et toute la famille dispose même d’une petite maison indépendante, ainsi que d’un terrain à cultiver mis à leur disposition. Une vie presque normale, illuminée par le merveilleux sourire de Soavina.
Grâce à vos dons, nous les soignons
Vous souhaitez faire un don à la Fondation Raoul Follereau
pour son action en faveur des personnes malades ?
dans la limite fixée par la loi* et 66% au-delà, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
* Mise à jour de la loi de finances chaque année.
Atteinte de la lèpre, Soavina est désormais guérie après 3 ans de soins, entrecoupés de rechutes.
Quelle histoire se cache derrière Soavina et sa mère Dimby, à l’affiche de la Journée Mondiale des malades de la Lèpre ?
Tout commence en 2018. Soavina (prononcez “ Soav ”) arrive au centre de la lèpre et de la tuberculose de Marana (ne pas prononcer le “ a ” à la fin) de Madagascar avec sa maman Dimby, ses deux frères ainsi que sa tante Fara (la sœur jumelle de sa maman) et son cousin. Elle n’a que 5 ans, mais a déjà développé une forme très grave de lèpre avec un érythème noueux, sorte de bouton sur le visage. Sa vie est en danger, mais l’espoir d’une vie meilleure se dessine enfin.
Depuis sa naissance, Soavina, de par sa maladie, ne connaît que l’exclusion et l’insécurité. Sa maman, Dimby, ainsi que sa tante Fara, sont en effet déjà malades de la lèpre quand elles sont enceintes. Rejetées par leurs compagnons respectifs et leur village, elles se retrouvent seules et malades avec leurs enfants, survivant difficilement de quelques dons. A plusieurs reprises, elles cherchent même de l’aide auprès de différents dispensaires, qui, faute de moyens, ne sont pas en capacité de les accueillir. Leur calvaire va durer des années jusqu’à ce beau jour de 2018.
En visite dans la région, un homme politique local s’émeut de la situation de la famille et se met alors en quête d’un lieu qui pourra les aider et les soigner. Il le trouvera 70 km plus loin : au centre de Marana, que gère chaque jour, avec volonté et bienveillance, Sœur Sabine, épaulée par 6 autres sœurs.
Sœur Sabine rapporte qu’à leur arrivée, les 2 mamans avaient tellement pleuré que l’une ne parlait plus et l’autre avait une voix rauque. Pour elles deux et Riz, le grand frère de Soavina, il est déjà trop tard : leurs mains et leurs pieds sont trop
atteints. Ils resteront handicapés à vie. Pour Soavina, 3 ans de soins seront nécessaires à sa guérison.
Aujourd’hui, Soavina est totalement guérie et s’apprête enfin à vivre la vie d’une petite fille de son âge. Au cœur même du centre, avec ses frères et ses cousins, elle a enfin accès à l’éducation (avant leur arrivée, aucun d’entre eux n’était
jamais allé à l’école). Et toute la famille dispose même d’une petite maison indépendante, ainsi que d’un terrain à cultiver mis à leur disposition. Une vie presque normale, illuminée par le merveilleux sourire de Soavina.
PRIORITÉ ÉDUCATION
OFFRONS UN AVENIR AUX ORPHELINS ET ENFANTS DES RUES
En Afrique et en Haïti, où la situation économique et sécuritaire ne cesse de se dégrader, des milliers d’enfants sont abandonnés ou livrés à eux-mêmes. Ils doivent grandir seuls, exposés aux dangers de la rue, à la violence, la drogue et la délinquance…
POUR QUELLES RAISONS DES ENFANTS SONT-ILS ABANDONNÉS ?
– Décès d’un ou des deux parents.
– Impossibilité psychologique des parents à prendre soin de l’enfant.
– Extrême pauvreté des familles.
– Superstitions (dans certaines régions, les enfants dont la mère est morte en couche sont considérés comme maudits et bannis).
LE CENTRE TAAB YINGA pour enfants des rues
Depuis plusieurs années, le Burkina Faso est plongé dans une grave crise sécuritaire. Les conséquences sont dramatiques : partout, l’insécurité alimentaire progresse, et les familles plongées dans de graves difficultés économiques ne sont plus en mesure d’offrir un cadre serein à leurs enfants.
Dans les rues de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, des milliers d’enfants en rupture familiale sont ainsi livrés à eux-mêmes et vivent dans la rue. Depuis 2019, la Fondation Raoul Follereau soutient le centre TAAB YINGA, qui accueille, soutient et réinsère ces jeunes.
24 jeunes garçons de 10 à 18 ans sont pensionnaires du foyer, 7 jeunes sont externes en centre de jour (dont 5 filles) et 29 jeunes vivant dans la rue sont soignés et accompagnés.
BESOIN DE FINANCEMENT POUR 2022 : 290 000€
Objectifs :
– Permettre aux enfants de recréer les liens familiaux dont ils ont besoin pour se construire et trouver leur place.
– Redonner confiance aux enfants et les responsabiliser via la scolarité et la formation professionnelle.
– Couvrir les frais de fonctionnement et d’investissement des centres (agrandissements, réfection des structures d’accueil, développement d’activités génératrices de revenus).


Crédit photo : D. N’Gatta
Grâce à vos dons, nous les soignons
Vous souhaitez faire un don à la Fondation Raoul Follereau
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dans la limite fixée par la loi* et 66% au-delà, dans la limite de 20 % de votre revenu imposable.
* Mise à jour de la loi de finances chaque année.